L’affaire de la vaccination à ARN messager revient au-devant de la scène mondiale avec la nomination de Robert Kennedy Jr au ministère de la Santé des États-Unis.
L’élection de Donald Trump aura-t-elle plus de répercussions sur la vie quotidienne des Français qu’un changement de gouvernement en France ? Après les confinements et la crise Covid, il y a eu un débat sur les effets de la vaccination à ARN messager. Aujourd’hui, dans de nombreux pays, des enquêtes sont publiées sur les effets indésirables des vaccins et les procès commencent à se multiplier. Aux États-Unis, le nouveau ministre de la Santé, Robert Kennedy Jr, connu pour son scepticisme sur les vaccins, a bien l’intention de s’attaquer aux grands laboratoires et aux agences de contrôle de la santé et de l’alimentation.
Jean-Marc Sabatier fait partie de ces grands scientifiques français dont les travaux ont été suivis par Robert Kennedy Jr. Dans un ouvrage très pointu, le chercheur revient sur les effets du Covid long : fatigue extrême, problèmes respiratoires, cardio-vasculaires et gastro-intestinaux, troubles neurologiques, etc. Il aborde de façon scientifique les effets indésirables de la vaccination anti-Covid 19.
Jean-Marc Sabatier est directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et en microbiologie, habilité à diriger des recherches en biochimie et spécialiste des vaccins et thérapies à base de protéines modifiées. Rédacteur en chef de plusieurs revues scientifiques internationales, il est membre de comités d’experts pour 73 journaux scientifiques. Il a également publié plus de 270 articles scientifiques ou livres spécialisés, déposé 55 brevets d’invention et reçu plusieurs récompenses pour ses travaux de recherche. Il a rédigé cet ouvrage avec Estelle Fougères journaliste scientifique indépendante.
« Covid long et effets indésirables du vaccin – Mécanismes biologiques et traitements prometteurs. » de Jean-Marc Sabatier et Estelle Fougères est publié aux Éditions Trédaniel.
Kernews : Il y a eu un grand débat au moment de la vaccination quasi obligatoire sur les effets secondaires du vaccin et l’on a traité de complotistes tous ceux qui s’interrogeaient. Depuis quelques mois, dans le monde entier, sauf en France, il y a des procès et des études scientifiques qui démontrent certains effets indésirables de cette vaccination. Comment expliquez-vous la gêne, ou l’omerta, autour de ce sujet sensible en France ?
Jean-Marc Sabatier : C’est assez incompréhensible. La France a été un pays phare pour la vaccination anti-Covid, avec d’autres pays, comme le Canada et, avec l’ensemble des données que nous avons, les injections à ARN messager auraient dû être stoppées depuis longtemps. Déjà, en décembre 2023, la publication d’un article dans Nature, une revue scientifique de très haut niveau, démontrait clairement que le dérivé methyl-1 pseudo-uridine utilisé dans les vaccins de Moderna et de Pfizer conduisent à la production de protéines aberrantes qui n’ont strictement rien à voir avec la protéine spike. Comme le système immunitaire peut se mobiliser contre ces protéines, en cas d’immunité croisée, cela peut avoir des effets délétères très importants. Ces vaccins n’auraient jamais dû être mis sur le marché. Ce ne sont même pas des thérapies géniques, parce qu’il n’y a même pas de thérapie, puisque les effets délétères sont flagrants. On le voit bien avec tous les rapports (EudraVigilance, VAERS, et autres) qui montrent qu’il y a une explosion de nombreuses pathologies, cardiovasculaires, neurodégénératives, gastro-intestinales, de l’auto-immunité et des cancers.
On entend parler de cancers, de fatigue extrême et de problèmes respiratoires. S’agit-il de faits isolés qui sont exagérés par les milieux complotistes, et ce serait donc marginal, ou est-ce un réel problème d’envergure mondiale ?
Il y a réellement un vrai problème. Ce ne sont pas des cas isolés. Il y a vraiment une explosion d’effets secondaires à la suite de ces injections vaccinales anti-SARS-CoV-2. Tous ces vaccins sont basés sur la protéine spike du virus SARS-CoV-2, qui est légèrement modifié sur les acides aminés en position 986 et 987, ils ont modifié deux acides aminés par rapport à la protéine spike naturelle du virus SARS-CoV-2. Il a été montré que cette protéine spike était pathogène en elle-même et l’on parle même de spikeopathie, c’est-à-dire de pathologies induites par la protéine spike. En fait, cette protéine modifiée a un gros problème car elle est capable de reconnaître son récepteur, celui ciblé par le virus dans l’organisme humain. Ce récepteur s’appelle ECA2, c’est l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, et c’est un récepteur qui normalement transforme l’hormone angiotensine 2 en angiotensine 1-7. Lors d’une infection naturelle, ou lors d’une injection vaccinale, cette protéine spike peut se fixer sur le récepteur ECA2 et, comme la fonction du récepteur ECA2 n’est pas d’être reconnue par la protéine spike du virus, mais de dégrader une hormone, l’angiotensine 2, cela va conduire à une augmentation de la proportion de protéines angiotensine 2, ce qui va suractiver un récepteur AT1R qui est très délétère. Ce récepteur est pro-inflammatoire, pro-hypertenseur, pro-angiogénique, pro-oxydant, pro-hypoxémique, pro-hypoxique, pro-thrombotique, pro-fibrosant, pro-hypertrophiant et cela fait chuter le monoxyde d’azote. Tout cela va potentiellement conduire à des tas de pathologies neurodégénératives, gastro-intestinales, cardiovasculaires, avec de l’auto-immunité et des cancers. C’est ce que nous avons décrit avec mes collègues chinois du laboratoire de virologie de Wuhan. Nous avons publié très tôt un article scientifique soumis en mars 2020, publié en avril 2020, dans lequel nous avons décrit le dérèglement de ce système physiologique, qui est le système rénine-angiotensine. Ce système dérégulé est responsable de nombreuses pathologies que nous avons anticipées. Nous avons pu citer un certain nombre de pathologies que nous connaissons maintenant et qui sont réellement des pathologies Covid. Je peux citer les thromboses, les atteintes nerveuses, les coagulopathies, les maladies neurodégénératives, comme Alzheimer ou Parkinson, mais également des crises d’épilepsie. On parle beaucoup des myocardites et des péricardites, qui sont responsables d’une mortalité assez élevée, et nous avons décrit cela très tôt, en signalant un dérèglement du système rénine-angiotensine. À l’époque, toutes ces injections auraient dû être arrêtées. C’était déjà connu de longue date en raison d’un problème avec les composés utilisés dans ces vaccins. Il y a une toxicité de l’ARN messager à cause, entre autres, de la présence de methyl-1 pseudo-uridine et il y a une toxicité aussi liée aux nanoparticules lipidiques qui sont utilisées dans ces vaccins à ARN messager, pour permettre une vectorisation des ARN messagers à l’intérieur des cellules pour produire de la protéine spike vaccinale. Nous avons également abordé l’importance de la vitamine D. Nous n’avons pas du tout été écoutés à l’époque.
Dans les médias institutionnels français, le professeur Montagnier a été taxé de pauvre homme gâteux qui avait perdu la tête, idem pour le professeur Perronne, et la généticienne Alexandra Henrion-Caude a été qualifiée de foldingue par ceux que l’on appelle les « debunkers » de l’info. Or, maintenant, dans le monde entier, des chercheurs éminents confirment ce que ces personnalités avaient dit…
C’est très attristant, car ces vaccins n’ont pas suivi les procédures normales. Normalement, on n’aurait jamais dû les injecter comme des vaccins, puisque c’est clairement de la thérapie génique. Ils ont changé l’appellation de ces injections en les faisant passer pour des injections vaccinales. En effet, cela permettait d’éviter tout un tas de tests, notamment de dégradation, de biodistribution, etc. normalement obligatoires pour les molécules utilisées en thérapie génique. En présentant cela comme une injection vaccinale, ils ont pu s’affranchir de tous ces tests, qui étaient pourtant indispensables. Tout cela a été développé à la va-vite. Normalement, il faut compter une dizaine d’années pour mettre un vaccin sur le marché, alors que ce vaccin a été développé en six mois.
Nous allons essayer de nous montrer optimistes. Maintenant, que peut-on faire ? Vous expliquez qu’il existe des traitements prometteurs pour lutter contre les effets de ces vaccins…
La protéine spike vaccinale a la capacité de reconnaître le récepteur ECA2, cela a été démontré et même décrit dans les documents de Pfizer. La toxicité vient en grande partie de la reconnaissance de ce récepteur qui dérègle le système rénine-angiotensine qui est extrêmement important, puisqu’il fait fonctionner tout le corps humain, toutes les fonctions autonomes, rénales, cardiovasculaires, pulmonaires, mais aussi l’immunité innée et les microbiotes. Heureusement, toutes les personnes qui ont reçu des injections n’ont pas toutes des problèmes. La protéine spike va suractiver un récepteur AT1R qui est délétère. Notre organisme possède un système de régulation négative du système rénine-angiotensine. On connaît un certain nombre de récepteurs qui font l’inverse d’AT1R et qui freinent la suractivation du système rénine-angiotensine. Donc, il y a un effet bénéfique et c’est pour cette raison majeure que ce ne sont pas toutes les personnes injectées qui souffrent des effets secondaires. Le corps étant bien fait, il a un système de régulation qui permet de freiner la suractivation du système rénine-angiotensine. Cela dépend aussi du statut en vitamine D. Les gens qui font des formes délétères sur les injections vaccinales sont très souvent des personnes carencées en vitamine D qui agit directement sur le système rénine-angiotensine et c’est un inhibiteur de la rénine qui est une enzyme qui transforme l’angiotensinogène en angiotensine 1, précurseur de l’angiotensine 2. Pour les personnes qui ont reçu cette injection vaccinale et qui vont mal, la première chose à faire, c’est de se supplémenter fortement en vitamine D. L’idéal serait d’avoir un taux plasmatique de vitamine D compris entre 50 et 80 nanogrammes de calcifediol par millilitre. Le calcifediol est la forme circulante de la vitamine D dans le sang. Il est très important d’avoir un taux correct de vitamine D plasmatique parce que, lorsque le taux est très bas, c’est justement là que l’on peut avoir de nombreuses pathologies qui sont liées à un dérèglement du système rénine-angiotensine. On peut monter jusqu’à 100 ng/ml lorsque l’on a des formes sévères, comme des cancers ou des maladies auto-immunes. Il faut que cela s’accompagne de 300 mg de magnésium par jour. Ce magnésium est très important et doit être pris avec la vitamine D, parce qu’il y a 8 personnes sur 10 qui sont déficientes en magnésium. Le magnésium intervient dans de nombreuses réactions métaboliques et c’est un cofacteur des coenzymes qui vont transformer la vitamine D qui est inactive en calcitriol qui est la forme bioactive de la vitamine D. Il faut aussi prendre entre 10 et 40 milligrammes de zinc qui est un cofacteur de métalloprotéinase à zinc et aussi de facteurs de transcription activés par la vitamine D, permettant la transcription de gènes et la production de certaines protéines importantes pour le bon fonctionnement du corps humain. L’idéal, en cas de Covid long, c’est de prendre des antioxydants, comme la vitamine C, entre 2 et 4 g par jour, pour contrebalancer les effets délétères des radicaux libres qui vont être produits lors de la suractivation du système rénine-angiotensine. Enfin, il faut prendre de l’antioxydant qui a des propriétés redox, soit le Nac ou le Glutathion. Là, on est assez bien armé pour lutter contre les effets délétères qui pourraient être induits par une injection vaccinale ou par une infection naturelle. Pour des formes plus sévères, vous pouvez rajouter une supplémentation de 1 g de taurine, de 2 g d’oméga 3, mais aussi d’iode, jusqu’à 2 mg, mais également de la vitamine A. La vitamine K2 est également importante, puisqu’elle gère l’homéostasie du calcium. Quand on prend de très fortes doses de vitamine D, il peut y avoir un effet secondaire à long terme, avec un dépôt de calcium sur les tissus mous et l’apparition de calculs aux reins.
Actuellement, la plupart des médecins traitants répondent que tout cela est faux et qu’il faut croire en la science…
Justement, il faut croire en la science ! Et la science n’est pas du tout en faveur des injections vaccinales à ARN messager ! Ces médecins suivent la doxa, c’est-à-dire les propos des autorités sanitaires et de l’OMS, et ce ne sont pas des autorités scientifiques. Il y a eu deux prix Nobel consécutifs basés sur les ARN, cette année et l’année dernière, mais toutes les données scientifiques actuelles prouvent que ces approches vaccinales à ARN messager ne sont pas du tout au point, bien que cela soit étudié depuis les années 80. Fin 2023, il a été écrit qu’il y avait des problèmes avec la production de protéines aberrantes, avec des mutations ponctuelles, ou carrément la fabrication de protéines chimères. Normalement, ces dérivés n’auraient jamais dû être utilisés pour une vaccination de masse. Les nanoparticules lipidiques sont toxiques et elles sont utilisées aussi bien dans les vaccins Moderna et Pfizer. On utilise notamment des lipides cationiques et des lipides pégyles qui posent des problèmes, puisqu’ils sont non-naturels et potentiellement captés par tous les organes. Les nanoparticules lipidiques, qui contiennent les ARN messagers, peuvent être captées par de nombreux organes, y compris les organes reproducteurs. Tout cela a été démontré. Il faut éviter les rappels vaccinaux, puisque les effets délétères s’ajoutent et, à un moment, le système rénine-angiotensine n’arrive plus à réguler cette suractivation du récepteur AT1R et c’est alors qu’il y a de sérieux problèmes de santé.
Finalement, avec de la vitamine D et du magnésium, on peut réussir à s’en sortir ?
Cela va dépendre de l’état général de la personne. La vitamine D et le magnésium ne peuvent pas résoudre tous les problèmes en cas de Covid long et très sévère.
Mais ne va-t-on pas recommander à la personne qui souffre d’un Covid long d’aller faire sa cinquième ou sa sixième dose ?
C’est justement ce qu’il ne faut pas faire ! Et c’est malheureusement ce que disent beaucoup de médecins : « Vous avez déjà des problèmes, donc vous devez recevoir une injection vaccinale supplémentaire. Autrement, vous allez faire des formes mortelles. » C’est tout l’inverse. Le système de régulation se retrouve débordé et on le voit très bien. Dans les associations de Covid long, les personnes qui ont les formes les plus sévères ont eu des signes annonciateurs. Ces vaccins à ARN messager ne sont pas des vaccins, parce qu’ils ne bloquent pas la transmission, ni l’infection, et ils sont en eux-mêmes délétères. Ce qui est grave, c’est qu’ils ont prévu à l’horizon 2030 de changer tous les vaccins actuels par des vaccins à ARN messager. Cela concerne près de 500 vaccins, dont 120 en médecine humaine et le reste en médecine vétérinaire. On va même remplacer les vaccins qui ne posent aucun problème, ceux avec lesquels nous avons un recul de plusieurs décennies avec très peu d’effets secondaires, par des vaccins à ARN messager conventionnels, mais aussi par des vaccins en développement appelés auto-amplifiants et trans-amplifiants, qui sont encore pires que les vaccins à ARN messager conventionnels, ainsi que de nouveaux vaccins à ARN messager basés sur des points quantiques de graphène.
Le mouvement de contestation qui se développe dans le monde entier peut-il bloquer tout cela ?
Oui, la donne change radicalement en ce moment. Fin 2023, le Japon a accepté le vaccin anti-Covid auto-amplifiant d’une société californienne : cela veut dire que la personne qui va recevoir ce vaccin va produire en permanence un complexe réplicase qui va copier l’ARN auto-amplifiant et produire de la protéine spike. Vous n’aurez potentiellement plus besoin de rappel, puisque vous produirez en permanence de la protéine spike. Avec la nomination de Robert Kennedy Jr, comme ministre de la Santé aux États-Unis par Donald Trump, les choses vont changer, puisque c’est quelqu’un qui a bien compris tout cela. C’est un avocat, ce n’est pas un scientifique, mais il a bien compris que ces vaccins n’étaient pas au point. Les autorités sanitaires de régulation vont connaître un grand ménage pour éviter les conflits d’intérêts car, dans toutes ces autorités, la moitié des personnes ont des conflits d’intérêts en étant associées à de grandes sociétés pharmaceutiques. Si l’on se base uniquement sur les données scientifiques, ces vaccins n’auraient jamais dû être utilisés pour une vaccination de masse. Toute la doxa dit que les complotistes sont anti-science, mais c’est tout l’inverse ! Il suffit de regarder les données scientifiques qui ne sont pas du tout en faveur de ces injections à ARN messager.
Nous situons-nous au début de cette affaire ? Est-ce le signe d’un grand règlement de comptes juridique ? Sommes-nous aussi au début de problèmes sanitaires ?
Il est fort possible que des personnes qui ont été multi-injectées aient des problèmes ultérieurement. Cela dépend des personnes. Il apparaît aussi que les groupes ne sont pas équivalents car, selon les régions du monde, ce n’est pas la même chose. Il y a des lots qui sont très riches en ADN, parfois jusqu’à 200 milliards de particules, cela peut induire des tumeurs avec le promoteur SV40. Il y a aussi des lots bien moins toxiques. Déjà, il n’y a pas une bioéquivalence des lots. Contrairement à ce que disent les autorités sanitaires, des pathologies peuvent apparaître dans le temps. Si vous avez un petit dérèglement du SRA, vous pouvez avoir une maladie auto-immune ou une tumeur, et cela prendra des mois ou des années à se développer. C’est ce que l’on observe en ce moment. Donc, l’affaire est loin d’être finie. Évidemment, plus l’on s’éloigne des injections, mieux c’est, mais ce n’est pas évident. L’autre problème est de savoir s’il y a une intégration des ARN messagers vaccinaux dans le génome des cellules humaines. Les données scientifiques actuelles montrent que cela semble être le cas. Cela ne veut pas dire nécessairement que c’est très grave. Dans le génome humain, 23 % du génome correspond à de l’ADN en provenance de microbes, notamment de virus tels que les rétrovirus. Donc, ce n’est pas parce que l’on a une information génétique dérivée de microbes que ce sera très délétère. Mais il y a quand même des risques avec cette intégration de l’information génétique qui va coder pour la protéine spike, donc cela peut être réactivé, avec une transcription du gène. Il y a bien une rétrotranscription possible, donc une copie de l’ARN messager vaccinal en ADN, avec une intégration potentielle dans le génome. Cela a déjà été démontré in vitro par des groupes américains ou japonais. Ce n’est pas incohérent puisqu’il existe un système enzymatique humain, appelé LINE-1, qui est capable de faire de la rétrotranscription. En clair, c’est une activité ADN polymérase ARN dépendante et cela veut dire que l’on peut fabriquer de l’ADN à partir de l’ARN. On pensait que c’était vraiment réservé à certains rétrovirus, comme le VIH, mais on se rend compte que l’on a aussi un système endogène qui permet de faire cette rétro-transcription avec une intégration dans le génome. Lorsque l’on met certains types cellulaires en présence du « vaccin » de Pfizer, on peut détecter dans le génome des cellules qui ont été en contact avec le vaccin de Pfizer, des portions d’ADN qui correspondent à des fragments de la protéine spike du SARS-CoV-2. Tout cela n’est pas très rassurant, mais cela veut dire qu’il est urgent d’arrêter ces injections ! Je suis rentré au CNRS en 1989 sur la thématique des vaccins et j’ai travaillé pendant plusieurs années avec le professeur Montagnier et l’Institut Pasteur. Je suis spécialisé en ingénierie des protéines. Je fabrique des molécules au CNRS, j’ai fabriqué des morceaux de virus, des morceaux de VIH, j’ai fait des gains de fonction… Donc, je sais de quoi il s’agit. Ce qui est très important, c’est la nomination de Robert Kennedy Jr comme ministre de la Santé aux États-Unis. Il faut savoir aussi que Donald Trump a autorisé en 2017 les gains de fonction sur les microbes, donc des virus mutants. Quelque part, il est aussi responsable de cet état de fait puisqu’il y a énormément de données qui montrent que ce virus du Covid a été trafiqué en laboratoire. On découvre notamment la présence d’un site furine entre les domaines S1 et S2 de la protéine spike, qui va couper la protéine spike, et cette coupure est indispensable pour que le virus infecte la cellule humaine. Ce site furine est très particulier, puisqu’on ne le retrouve pas dans les autres microbes. Un site furine normal suit une séquence consensus RX(K/ R)R, dans la protéine spike, on retrouve un code complètement atypique RRAR. Or, aucun microbe connu ne répond à cette structure primaire de site furine, sauf qu’il est dans un brevet déposé par Moderna en 2017, et c’est ce que l’on retrouve à 100 % dans la protéine spike du SARS-CoV-2. Cela montre bien qu’il n’y a rien de naturel.
On peut être terrifié en vous écoutant, car on a le sentiment qu’il y a eu des expérimentations génétiques avec des combinaisons artificielles…
Ils font des expérimentations qui ne sont pas du tout au point et qui ne devraient jamais être appliquées à l’homme, en tout cas en l’état actuel des connaissances ! Ce qui est très dangereux, c’est que tout cela est en train d’être développé pour la médecine vétérinaire, avec l’injection des animaux avec des vaccins à ARN messager. C’est très problématique, puisque l’on se nourrit aussi de viande animale. C’est un vrai danger, surtout lorsque la viande est peu cuite. On peut faire des tas de choses avec les ARN messagers, mais ce n’est pas du tout au point, et il faudra des dizaines d’années avant de savoir si cela peut être vraiment utilisé en médecine humaine. Actuellement, ce qui se passe est de la folie.